Macron et la guerre en Ukraine 2025 : vers une troisième guerre mondiale par refus de paix ?

Le 3 avril 2025, la guerre en Ukraine reste un échiquier où les pions s’appellent Trump, Poutine et Zelensky, mais c’est Emmanuel Macron qui semble vouloir redistribuer les cartes. Alors que des négociations de paix pointent timidement à l’horizon, le président français joue les trouble-fêtes, refusant tout compromis qui ne sied pas à sa vision d’une Europe forte. Noble ambition ou dangereux entêtement ? Décryptons si Macron, en snobant un traité de paix, nous conduit doucement vers un conflit mondial – ou si c’est juste une posture pour briller à Bruxelles.

Macron, le gardien autoproclamé de l’honneur européen

Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche en janvier 2025, les pourparlers sur l’Ukraine ont pris un tour inattendu. Trump, fidèle à ses promesses électorales, pousse pour un gel du conflit, une idée qui fait bondir Macron. Dans un article à France 24 fin février 2025, le président français a martelé qu’une paix sans garanties de sécurité pour l’Ukraine serait une « capitulation ». Refuser un traité bancal, d’accord, mais à quel prix ? Derrière ses discours, on devine une ambition : faire de l’Europe une puissance qui ne plie ni devant Washington ni devant Moscou.

Conséquences : En jouant les inflexibles, Macron pourrait renforcer l’unité européenne face à la Russie – ou au contraire semer la discorde avec des alliés prêts à signer pour en finir. Ironie subtile : vouloir sauver l’Ukraine en risquant de tous nous y entraîner.

Trump et Poutine : un duo que Macron adore détester

Donald Trump, avec son flair pour les deals rapides, envisage une paix pragmatique : lignes de front figées, fin des hostilités, et chacun rentre chez soi. Selon toujours France 24, cette proposition, discutée lors d’un sommet en Arabie saoudite en mars 2025, plaît à Poutine, qui y voit une validation de ses conquêtes. Mais pour Macron, c’est un affront. il a appelé à « ne pas céder aux pressions » et à soutenir Zelensky coûte que coûte, quitte à envisager une présence militaire européenne.

Conséquences : Si Macron bloque ce traité, il risque de froisser Trump, qui n’aime pas qu’on lui vole la vedette, et de provoquer Poutine, qui pourrait voir là une escalade. Une troisième guerre mondiale ? Pas encore, mais chaque « non » français est une allumette jetée sur un baril de poudre.

Zelensky, entre gratitude et otage involontaire

Volodymyr Zelensky, lui, applaudit la fermeté de Macron – du moins en public. Refuser un traité qui sacrifie des territoires ukrainiens colle à son discours de résistance. Mais, comme le souligne The New York Times, ce soutien européen pourrait bien se transformer en piège : si les États-Unis se retirent du jeu, l’Ukraine se retrouvera livrée à une Europe fracturée, avec Emmanuel Macron en chef d’orchestre d’une partition encore en brouillon.

Conséquences : Zelensky gagne du temps, mais à long terme, un refus de paix prolonge le conflit, épuisant son pays et testant la patience des alliés. Ironie du destin : le héros de la résistance pourrait devenir l’otage d’un bras de fer Paris-Moscou-Washington.

L’Europe au bord du gouffre ?

Macron rêve d’une Europe souveraine, mais ses partenaires ne suivent pas tous le rythme. L’Allemagne hésite, les pays de l’Est s’inquiètent, et le Royaume-Uni, hors UE, observe avec un sourire en coin. Refuser un traité de paix, c’est peut-être galvaniser l’UE contre Poutine, mais c’est aussi risquer une escalade militaire si la Russie décide de tester cette « autonomie stratégique » dont Macron parle tant (Le Figaro).

Conséquences : Une posture dure pourrait unir l’Europe – ou la fracturer, laissant la France seule face à un conflit qu’elle aura contribué à attiser. Subtile moquerie : Macron, en voulant éviter une paix au rabais, pourrait bien nous offrir une guerre grand luxe.

Vers un conflit mondial ou une simple fanfaronnade ?

En 2025, refuser un traité de paix n’est pas anodin. Si Trump impose son deal et que Macron s’y oppose, les tensions transatlantiques s’ajouteront à celles avec la Russie. Poutine, jamais en reste, pourrait profiter de ce chaos pour pousser ses pions. Une troisième guerre mondiale ? On n’y est pas encore, mais Macron, en jouant les inflexibles, nous rappelle que la politique est un art où les héros d’aujourd’hui peuvent devenir les pyromanes de demain.

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