Elisabeth Borne: une « femme exemplaire » pour l’éducation ?

« Je suis une femme exemplaire. » Oui, vous avez bien lu, c’est Elisabeth Borne qui l’a dit. Pas un journaliste flatteur, pas un biographe complaisant, mais bien la Ministre de l’éducation elle-même. Une déclaration qui illustre parfaitement l’autosatisfaction d’Elisabeth Borne. Et pendant qu’elle se félicite, les enseignants oubliés, les élèves en crise et les parents se demandent : exemplaire de quoi, exactement ?

Regardez par vous-même : Elisabeth Borne se félicite de son exemplarité dans cette déclaration qui a fait lever plus d’un sourcil.

Une femme exemplaire : mais pour quel bilan ?

Reprenons un instant ses mots : « Une dé-fierté de ce gouvernement est d’avoir confié l’éducation nationale à une femme exemplaire. » Alors, quel est l’exemple qu’Elisabeth Borne souhaite donner ? Celui d’une autosatisfaction politique à toute épreuve pendant que le système éducatif s’effondre ?

Être exemplaire, c’est bien. Mais encore faut-il des résultats. Parce que pour l’instant, l’éducation nationale ressemble davantage à une étude de cas sur la gestion de crise que sur la réussite. Les enseignants croulent sous les injonctions contradictoires, les élèves peinent à maîtriser les bases, et tout ce que trouve notre Première ministre à dire, c’est : Regardez comme je suis formidable !

Alors oui, peut-être qu’Elisabeth Borne est exemplaire… dans l’art de détourner l’attention.

Une éducation exemplaire, vraiment ?

Elisabeth Borne semble vouloir nous vendre une image parfaite. Mais si on regarde les chiffres, la réalité est bien différente :

  • Violences scolaires en hausse : une réalité qui illustre un système éducatif en crise, sans mesures ambitieuses pour inverser la tendance.
  • Classement PISA 2023 : la France continue de reculer en mathématiques et lecture. Pas très exemplaire, non ?
  • Enseignants démotivés : absence de moyens, réformes incohérentes et manque de considération. Pas sûr qu’ils soient convaincus par cette exemplarité.

À cela s’ajoutent des parents à bout face à des programmes scolaires jugés trop lourds et déconnectés de la réalité.

Quand les mots deviennent des bourdes

Ce qui est fascinant avec Elisabeth Borne, c’est cette capacité à transformer un discours en une machine à créer des mèmes. « Je suis une femme exemplaire. » » Sérieusement ? Si l’autosatisfaction d’Elisabeth Borne était une discipline olympique, elle décrocherait l’or.

En attendant, les salles des profs résonnent davantage de rires amers que de reconnaissance. Parce qu’au lieu de parler de solutions, de stratégie ou même de respect pour ceux qui font tourner la machine éducative, on préfère s’autocongratuler.

Conclusion

Être exemplaire, ce n’est pas une question de discours. C’est une question de résultats. Et pour l’instant, les parents, les élèves et les enseignants n’ont pas grand-chose à applaudir. Alors oui, peut-être qu’Elisabeth Borne est une femme exemplaire, mais uniquement dans sa propre catégorie : celle des autosatisfaits déconnectés de la réalité.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Êtes-vous convaincus par ce modèle d’exemplarité ou partagez-vous les doutes des enseignants ? Partagez cet article et dites-le-nous en commentaire !

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Cet article est une analyse satirique et humoristique de l’actualité. Il ne s’agit pas d’un article journalistique factuel.


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